Los Kadagi y Mesultane son dos tipos de chamanes georgianos.
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PalancaKadagi y Mesultane
los kadag est un chaman géorgien vivant dans les montagnes. C’est une personne (masculin ou feminin) qui est devenue possédée en permanence par l’une des classes de divinités mineures (c’est-à-dire locales / spécialisées) connues le plus souvent sous le nom de Hat’i (= ‘ signe ‘), mais aussi par ceux de Dzhuar (=’ croix ‘) et Saghmto (=’ divinité ‘). Les Hat’i en contaba con varios cientos a principios del siglo XIX y la palabra Hat’i podría designar no sólo una deidad de esta clase sino también su manifestación (como imagen, objeto o animal, real o imaginario) y el lugar (templo/santuario) donde se le rendía culto.
los kadag entre en transe, à la fois lors des rituels religieux et lors d’événements importants dans la vie individuelle ou collective, et son Hat’i à restos predicho l’avenir dans une langue secrète ou sacrée spéciale du Hat’i .
Un segundo tipo de practicante de tipo chamánico (exclusivamente femenino) era el Mesultana – le mot dérivant de l’âme georgiano suli . A Mesultana – généralement une femme, bien que parfois aussi jeune qu’une fille de neuf ans – était une femme qui possédait «la faculté de visiter l’au-delà en esprit».
A veces, estas mujeres se hundían en "un letargo roto por susurros", después del cual se despertaban y describían su "viaje", comunicando las demandas de los muertos a individuos particulares oa la comunidad en general. De su capacidad para entrar en estos estados de trance, obtendrían honor y prestigio.