La inmersión de la ciudad de Ys

Voici le chant de la sibmersion de la ville d’Ys dans sa version de la mitología Gálico.

El pueblo de Ys.

I

As-tu entendu, as-tu entendu ce qu’a dit l’homme de Dieu au roi Gradlon qui est à Ys ?
 » Ne vous livrez point à l’amour; ne vous livrez point aux folies. Après le plaisir, la douleur !
 “El que muerde la carne del pez, será mordido por el pez; y el que traga, será tragado.
 » Et qui boit et mèle le vin, boira de l’eau comme un poisson; et qui ne sait pas, apprendra. « 

II

Le roi Gradlon parla: – Joyeux convives, je veux aller dormir un peu.
– Vous dormirez demain matin; demeurez avec nous ce soir; néanmoins, qu’il soit fait comme vous le voulez.
Sur cela, l’amoureux coulait doucement, tout doucement ces mots à l’oreille de la fille du roi:
– Douce Dahut, et la clef ?
– La clef sera enlevée; le puits sera ouvert: qu’il soit fait selon vos désirs !

III

Or, quiconque eût vu le vieux roi endormi, eût été saisi d’admiration,
D’admiration en le voyant dans son manteau de pourpre,
ses cheveux blancs comme neige flottant sur ses épaules, et sa chaine d’or autour de son cou.
Cualquiera que hubiera estado atento habría visto a la chica blanca entrar en la habitación sin hacer ruido, descalza:
Elle s’approcha du roi son père, elle se mit à genoux, et elle enleva chaine et clef.

IV

Toujours il dort, il dort le roi. Mais un cri s’élève dans la plaine: – L’ eau est lâchée ! la ville est submergée !
– Seigneur roi, lève-toi ! et à cheval ! et loin d’ici ! Ia mer débordée rompt ses digues !
Maudite soit la blanche jeune fille qui ouvrit, après le festin, la porte du puits de la ville d’Ys, cette barrière de la mer !

V

– Forestier, forestier, dis-moi, le cheval sauvage de Gradlon, l’as-tu vu passer dans cette vallée ?
– Je n’ai point vu passer par ici le cheval de Gradlon, je l’ai seulement entendu dans la nuit noire:
Viaje, viaje, viaje, viaje, viaje, viaje¡Rápido como el fuego!
– As-tu vu, pêcheur, la fille de la mer, peignant ses cheveux blonds comme l’or, au soleil de midi, au bord de l’eau ?
– J’ai vu la blanche fille de la mer, je l’ai même entendue chanter: ses chants étaient plaintifs comme les flots.