Las criaturas de Cantabria

En même temps que les divinités telluriques et la nature, la Cantabrie a eu, comme dans les traditions populaires d’autres régions, des êtres fabuleux et variés, adorés ou craints, et au sujet desquels se fondaient des histoires et légendes : les créatures de Cantabrie.

Las criaturas de Cantabria

Hay muchos seres de este tipo en el mitología de esta región, incluyendo estos:

  • LOS'ojáncanu Dónde ojancano: Fléau de Cantabrie, cette créature personnifie le malheur et la méchanceté, la cruauté et la brutalité, il peut s’envisager comme la version cantabre du Polyphème Griego. El único ojo de este cíclope es rojo y brilla en la noche.

LOS'ojáncanu se refiere a muchas criaturas similares que existen en varios mitologías indo-européennes. Cet énorme monstre couvert de poils et de verrues vit dans les recoins les plus inaccessibles des montagnes de Cantabrie. Il se nourrit de moutons et de vaches. Sa force est telle qu’il peut presque tout soulever.

  • LOS'ojancana Dónde juancana : cette ogresse est la partenaire de l’ojáncanu. L’ojancana ressemble à son équivalent masculin mais son visage est dépourvu de barbe ; sa force est aussi importante que celle du mâle. Elle est plus cruelle que son époux, elle se nourrit d’humains, principalement d’enfants égarés.
  • los anjana : Antithèse des deux précédents, il s’agit d’une fée bonne et généreuse, protectrice des honnêtes gens, des amoureux et de ceux qui s’égarent dans les forêts et sur les chemins. Petit être pâle et ailé de moins d’un mètre, la anjana Tiene voz suave, ojos rasgados y pupilas azules o negras.

A anjana vive cuatro siglos, puede hacerse invisible. Criaturas mitológicas comparables se encuentran en Asturias, en el País vasco ainsi qu’en Galice.

  • los duendes : cette catégorie englobe tous les petits êtres de la mythologie cantabre, comparables à des gobelins espiègles et moqueurs la plupart du temps. Ils ont une figure humaine et font environ la taille d’un petit enfant. Il faut distinguer parmi eux les duendes domestiques, qui vivent à l’intérieur et autour des maisons (trasgo y trastolillos), y los que viven en el bosque (trentis, tentirujos y zahorís). L’étymologie renvoie d’ailleurs à « dueño », c’est-à-dire à l’habitant.

Il existe beaucoup d’autres êtres fabuleux peuplant cette riche région, comme la Ventolín, allá Osa de Andara, los Cabalucos del Diablu (jinetes del diablo), los nubes, los musgosu, los Culebre, los Ramidreju. Mais il existe également d’autres légendes d’importance : celle de la Sirenuca, joven bella, desobediente y caprichosa que sube a los acantilados más peligrosos de Castro-Urdiales para cantar al ritmo de las olas, y transformada en ninfa del mar por su comportamiento.

La légende de l’homme-poisson de Liérganes raconte l’histoire d’un jeune homme aimant nager qui s’est perdu dans la rivière Miera et qui a finalement été retrouvé dans la baie de Cadix sous la forme d’un être aquatique étrange.