Creencias y ritos vascos

los mitología vasco es producto de toda una evolución que parte de las creencias y ritos vasco des temps préhistoriques pour aboutir a un développement et l’influence d’éléments forains et l’incorporation de mythes d’autres cultures (incidences des conceptions de peuples pasteurs, phase de romanisation et de contacts polythéistes et cultures de l’antiquité) et souffrant d’importants changements de l’expansion de la religion catholique.

Creencias y ritos vascos

Izena duen guztia presagio da
Todo lo que tiene un nombre existe
Las creencias y los ritos existen desde la antigüedad.

Il s’agit là d’un thème complexe qui découle de narrations mythiques et des données apportées par le folklore, traditions et coutumes populaires, ethnographiques et linguistiques. On est obligé de mentionner Jose Miguel de Barandiaran (maître de toute une génération d’archéologues et ethnologues) et de Julio Caro Varoja qui ont très largement contribué à la connaissance de la culture basque.

Entre los genios y divinidades de la tierra destaca MARI, a quien acompaña todo un grupo de divinidades que suelen adoptar forma animal.

L’autre espace important est occupé par les mythes solaires et lunaires ainsi que la relation au ciel. Quelques-uns de tels mythes ont leur présence dans tout le Pays basque, avec des variantes locales ou régionales.

Une bonne partie de celles-ci s’étendent dans d’autres régions pyrénéennes ou sont des mythes de caractère plus important sinon universel qui, ici, ont prit un aspect particulier.

A todo ello hay que sumar los acontecimientos de las almas de los antepasados, los ritos y costumbres ligados al culto doméstico.

La mythologie pré-chrétienne étant bien ancrée, l’introduction du christianisme supposa de profondes transformations.

De este modo, leyendas expliquent que la venue de l’Orient d’un grand nuage lumineux (ou une belle étoile) fut l’annonce de la naissance de Kismi (Christ) et la fin de l’époque historique des Jentils (jentilak), êtres a qui on attribuait de grandes capacités physique et intellectuelles mais qui n’étaient pas chrétiens et qui se suicidèrent collectivement en se jetant dans des gorges ou en disparaissants.

El término “Jentil” en lengua vasca proviene del latín “gentilis”, identificado como un concepto de paganismo por los cristianos. En muchas zonas del País Vasco los nombres dados a los monumentos prehistóricos tienen relación con los Jentil (lo que implica que ellos, con su excepcional fuerza física, fueron sus constructores).

Así, Jentilbaratza (jardín de jentil para los cromlechs; Jentilarri o Jentiletxe (piedra de jentil o casa de jentil) con los dólmenes.

Lo mismo ocurre con ciertas cuevas, Jentilzulo, Jentilkoba (el agujero de Jentil, la cueva de Jentil) y los accidentes rocosos naturales Jentil-Zubi, Jentil-Leio (puente de Jentil, ventana de Jentil).

Dans certains endroits, l’édification d’églises et chapelles est liée à la disparition d’êtres antiques, dont les Jentils, divinités et génies.
Malgré tout, cette nouvelle « religion » n’a pas entraîné la destruction des anciennes croyances. Beaucoup d’entres-elles continuèrent vivantes et d’autres furent réadaptées aux interprétations chrétiennes intéressées, transmises de génération en génération.