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PalancaCuentos vascos
Aquí hay varios cuentos. vasco : el señor de Muntxaraz, los buenos y los malos, los Jentils de Leizadi
El señor de Muntxaraz
Un rey de Navarra dijo:
Daré a mi hija en matrimonio a quien luchará y vencerá a un negro de mi corte ”.
Le Seigneur de Muntxaraz se présenta et triompha du noir. Il se maria donc avec l’infante et le couple s’installa dans son palais d’Abadiano.
Ils eurent des fils et des filles. L’ainé s’appelait Ibon et le dernier enfant Marriuka. Le premier allait donc hériter de la maison c’est pour cela que Marriuka le détestait. Elle organisa une excursion à Anboto avec, entres autres, Ibon.
Là-haut, ils mangèrent et Marriuka fit en sorte que l’on serve du vin en abondance à son frère ainé. Ce dernier fut abattu par la boisson et il s’endormit dans la campagne.
Aidée d’une servante, Marriuka l’empoigna et le jeta du haut des rochers. Ainsi mourut Ibon.
Marriuka s’en retourna à Muntxaraz et dit à son père que Ibon était mort à Anboto, par suite d’une chute dans le massif rocheux. Mais sa conscience l’accusait.
Esa noche aparecieron en Muntxaraz los ximelgorri o genios diabólicos. Marriuka desapareció. Como vive en Anboto o Sarrimendi, depende de la época.
Cuando va a Oiz se la ve cruzando el aire como un chorro de fuego.
Los buenos y los malos
Un día cayó un rayo sobre un pueblo, y el buen San Pedro le preguntó al Señor Jesús:
- "Señor, ¿por qué cayó un rayo sobre los buenos y los malos?" ¿Por qué no solo con los malos? ".
En ese momento, Jesús no respondió. Pero, más adelante, el Señor Jesús dijo a San Pedro:
-« Pierre, prends cet essaim d’abeilles.
-« Nous n’avons pas de ruche, seigneur. »
-« C’est égal; met le contre ta poitrine. »
Saint Pierre met donc l’essaim contre sa poitrine, et, tout de suite, il se met à crier:
– « Aie! elles sont toutes en train de me piquer! Aie!…. »
Un poco más adelante, entonces, el Señor Jesús:
-« Donne moi l’essaim d’abeille, que je le fasse entrer dans la ruche que voilà »
-« Seigneur, mais c’est bien sur que je les ai toutes écrasées ! »
-" Por qué ? "
-« Parcequ’elles me piquaient. »
– » Elles piquaient? Toutes ? Pourquoi donc les écraser toutes, les bonnes et les méchantes ? ».
Los Jentils de Leizadi
Los Jentil, que vivían en la cueva de Leizadi, bajaron al lugar llamado Aizgerriko hasta las casas Begiriztain y Ayorre.
Par leurs chants ils réjouissaient les gens. Tous les jours l’un d’eux allait voir un berger qui se tenait dans la grotte inférieure de Leizadi, il lui demandait du lait. Le berger lui en donnait jusqu’à ce que, fatigué d’être tant de fois importuné, il chauffa la pierre qui servait de siège au Jentil lors des visites au cours desquelles il buvait du lait.
Lorsqu’il vint, il s’assit donc comme de coutume mais il dut se lever vite s’étant brûlé les fesses.
Dejó este lugar para siempre.