Athirne y Amergin

aquí está leyenda de la mitología Irlandés de Athirne y Amergin.

Athirne y Amergin

Un jour, Athirne vint en voyage à l’automne jusqu’à la maison de son fils adoptif, Amergin, et passa la nuit chez lui. Il était prêt à repartir le jour suivant, mais Amergin dit, pour le retenir :

 » L’automne est une bonne saison pour s’arrêter ; il y a du travail pour chacun avant les jours les plus courts. Les faons tachetés qui sont au milieu des biches, les buissons de fougères rouges les gardent à l’abri ; les cerfs dévalent les tertres à l’appel du chef de la harde. Les glands sont délicieux dans les vastes fôrets, dans les champs les tiges de blé couvrent l’étendue brune de la terre. Il y a des buissons d’épines et des tiges de ronces au milieu du palais en ruine ; le sol généreux est couvert de fruits lourds. Les noisettes bonnes pour la cueillette tombent du haut des vieux et énormes arbres dans les fossés. « 

A nouveau il se prépara à partir à l’hiver, mais Amergin dit alors :

 » Dans la noire saison du profond hiver une tempête de vagues s’élève autour de l’immensité du monde. Affligés sont les oiseaux des plaines herbeuses, en dehors des corbeaux qui se nourrissent de sang cramoisi, à la clameur de l’hiver rude ; âpre, noir, sombre, obscur, enfumé. Les chiens cassent les os vicieusement ; la marmitte de fer est mise sur le feu après le sombre jour noir. « 

Nuevamente se preparó para partir en primavera, pero entonces Amergin dijo:

 » Vif et froid est le printemps glacé, le gel viendra avec le vent ; les canards des trous d’eau ont lancé un cri. L’amère lamentation stridente de la grue est une plainte passionnée que les loups écoutent aux premières lueurs du matin dans les étendue sauvages ; les oiseaux s’éveillent dans les prairies, nombreuses sont les créatures sauvages qu’ils fuient hors des forêts, hors des herbes verdoyantes. « 

A nouveau il se prépara à partir à l’été, et Amergin dit, le laissant aller :

 » L’été est une bonne saison pour les longs voyages ; tranquille est la forêt magnifique et élevée, que le sifflement du vent ne va pas émouvoir ; vert est le plumage de la forêt accueillante ; les remous tourbillonnent dans la rivière ; douce est la chaleur du gazon. «