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PalancaCuentos vascos
Aquí hay varios cuentos. vasco : Le dragon d’Urdian, Mikelats et Atarrabi, Barantol et la belle dame.
El dragón de Urdian
En las cercanías de Urdian, el Dragón salió de su guarida y se comió a una niña todos los días. La mejor chica del pueblo. Había una anciana, un poco bruja; ella le dijo a la jovencita:
« – Prends un petit oeuf et frappe cinq fois la tête du Dragon avec cet oeuf ».
Puis la sorcière lui procura l’oeuf.
La jeune fille était en train de se peigner à l’entrée de l’antre du Dragon quand un jeune homme apparut et lui dit :
« – Que fais-tu ici ? Je dois lutter contre le… »
El Dragón salió y comenzaron a luchar. El joven dijo:
« – Ah ! Si seulement je recevais le baiser d’une jeune fille et trois chopines de vin, je dominerai ce monstre… »
Mientras tanto, la joven golpea la cabeza del Dragón cinco veces con su pequeño huevo. Al quinto golpe, el monstruo cae muerto.
Mikelats y Atarrabi
Mikelats et Atarrabi firent leurs études dans l’école du diable, une caverne.
A la fin de leur scolarité, l’un des écoliers devait demeurer pour toujours au service du diable. Ils tirèrent au sort et c’est à Mikelats qu’échut le sort de rester, cependant Atarrabi prit son frère en pitié, en effet ce dernier était tourmenté, il restait là, dans son coin, comme s’il était déjà l’esclave du diable. Il prit donc sa place.
Le diable obligea Atarrabi à tamiser la farine qu’il avait dans ses réserves bien garnies : c’était un travail sans fin car le son, comme la farine, passaient à travers les mailles. Le diable, qui n’avait sûrement pas une confiance démesurée en son disciple, lui demandait continuellement :
« – Où es-tu Atarrabi ? «
Y Atarrabi tuvo que responder:
« – Je suis ici «
Atarrabi aprendió a través de un colador a responderse a sí mismo:
« – Je suis ici « , chaque fois que le diable posait sa question.
Un día, el diablo estaba lejos en un rincón de su guarida. Atarrabi empezó a salir de este lugar al revés, mientras el colador respondía al clásico "aquí estoy". Tan pronto como salió, el diablo lo vio. Dio un salto, pero demasiado tarde: Atarrabi ya estaba fuera, fuera del alcance de la jurisdicción de su amo.
Seule son ombre s’étendait encore dans la caverne, c’est elle que le diable captura. Atarrabi vécut donc sans ombre. «
Barantol y la bella dama
Un jour, Barantol gardait ses vaches dans la montagne de Jora. La pluie l’obligea à chercher un refuge dans un trou sous un grand rocher. En y entrant, il aperçut une belle dame qui brodait.
– » Qui êtes-vous ? » demanda Barantol.
– » Je suis, dit la dame, une princesse enchantée. Je dois rester ici cent ans. Ne le dites à personne, parcequ’autrement je serai à jamais condamnée ».
Barantol prometió bien, pero no cumplió su palabra. La señora lo supo y cuando el pastor regresó a su cueva, ella le dijo:
– » Ah ! Barantol ! Barantol ! Ton sabot restera toujours débridé ».
Y con eso ella desapareció. Desde entonces, Barantol nunca ha logrado clavar firmemente una brida en su casco.