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Here are various tales Basque : Le four d’Ahurhutze, Le petit berger et la vierge, Basa Jaun et la soudure
Ahurhutze's oven
There used to be Spain, un village du nom D’Ahurhutze. Un certain samedi, une femme y faisait la fournée. Une vieille mendiante se présenta à la porte, lui demandant l’aumône d’une galette cuite au four. La femme mit donc un peu de pâte au four et soudain cette pâte devint un beau pain. Mais elle trouva le pain trop grand pour une aumône.
Elle mit dans le four une plus petite quantité de pâte, mais le galette devint un pain si grand qu’elle a peine à le retirer. Alors, elle prend un tout petit, tout petit peu de pâte au bout du doigt, et celui-là grossit tellement, que tout le four en fut rempli et que la femme ne put l’en tirer. Alors, le vieille mendiante dit:
– » Moi je suis la sainte vierge. Le samedi est mon jour et parce que tu as trouvé que ton aumône était trop grande pour une pauvre, désormais il ne se récoltera plus de froment dans ton village ».
That said, the holy virgin disappeared. Since that time, when women put bread in the oven, they say:
– » Le bon dieu le bénisse comme le pain d’Ahurhutze.
The little shepherd and the virgin
Un jour, la vierge apparut à un jeune berger d’une maison d’Amezketa du nom de Loidi, sur le rocher situé au passage d’Igaratza, près du chemin qui descend au village.
She asked him to bring three planks and seven tiles from the village, telling him that this load would not tire him.
L’enfant descendit chez lui et rapporta l’incident à ses parents, lesquels le tournèrent en dérision et ne lui permirent pas de prendre ce qu’il demandait.
La vierge lui apparut une seconde puis une troisième fois, lui demandant toujours la même chose. Mais les parents de l’enfant étaient toujours incrédules et ils l’empêchèrent de satisfaire ses désirs.
La vierge se transporta alors à Arantzazu; elle dit qu’à Loidi il ne manquera jamais quelque personne paralytique ou manchote.
On dit que cette malédiction ne cessa jamais de s’exercer. La vierge laissa une marque sur le rocher, une empreinte de pied qui se voit toujours. Avec l’eau qui s’y accumule quant il pleut, bien des bergers qui fréquente les lieux se signent, et vont jusqu’a déposer des pièces de monnaies afin de s’attirer quelque grâces du ciel.
Si le pélerin qui va à Saint Michel d’Aralar passe dans les parages, il doit recueillir toutes les pièces et les donner au monastère de l’archange ou dans toute autre église ou ermitage, comme don à la quête lors d’une messe célébrée pour le repos des âmes des ancêtres. S’il ne fait pas cela il court le risque d’un châtiment céleste.
Basa Jaun and welding
San Martinico voulait savoir comment le Basa Jaun soudait deux pièces de fer. Pour cela il envoya son domestique pour dire à travers tout le pays de Kortezubi qu’il avait découvert le moyen de souder le fer.
So the Basa Jaun asked the town crier:
« Serait-ce que San Martinico asperge d’eau argileuse les pièces de fer ? »
"No he didn't, but now he will!" He replied.
C’est ainsi qu’en utilisant comme fondant de l’argile en suspension dans l’eau, San Martinico arriva à souder le fer.
This technique subsequently spread to all the villages.