The Debility of the Ulates

Voici différentes version de l’histoire de la Débilité des Ulates, de la red branch of the mythology Irish.

the Debility of the Ulates

Debility of the Ulates

Version I

Crunniuc, son of Agnoman was a successful farmer. He lived in solitude and in the mountains, and he had many sons with him. Then his wife died. One day when he was alone in his house, he saw a woman [coming] to him in his house. The woman's appearance seemed magnificent to him. Soon after, the woman began, as soon as she was seated, to prepare [food], as if [already] she had been in the house. When night came, she gave instructions without questioning people. At night she slept with Crunniuc. For a long time, she was with him, and thanks to her, they did not lack anything, be it food, clothes and [what concerns] good products. Shortly after, the Ulates held a solemn assembly. The Ulates used to come to the assembly as male and wife, son and daughter. Crunniuc also went with the others to the meeting, he wore good clothes and had good learning. "But it is suitable for you", his wife said to him: "that you are not arrogant to the point of speaking recklessly. "It won't happen," he said. The meeting ended. At the end of the day, the king's chariot reached the goal first. The chariot horses won the victory. People were saying "There is nothing faster than these horses!" Crunniuc says "My wife is faster," he said. He was immediately arrested by the king. This was reported to his wife. “It's a real worry for me,” she said, “to have to go release him while I'm pregnant! "What a worry," said the messenger, "he will be killed if you don't come!" She went to the assembly, and the pains of childbirth took hold of her. “Help me,” she said to the people, “for each of you is born from a mother! Wait until I am delivered! “She couldn't get [that] from them. “Very well,” she said, “the greatest calamity will come, and for a long time it will reach all of Ulates. " " What is your name? Said the king. “My name,” she said, “and the name of my descendants will forever remain in the place of this assembly. Macha, daughter of Sainreth mac Imbaith is my name, ”she said. So she ran with the chariot, and when the chariot reached the end point, she had already given birth there, she gave birth to twins, a boy and a girl. It is from them that is called Emain macha (ie the Macha Twins). When they were born she uttered such a cry that anyone who had heard remained in a weak state for five days and four nights. All the men of Ulster that was there fell into that state (?), Until the ninth generation of whoever was there. Five days and four nights or five nights and four days, this was the Noinden Ulad. The strength of a woman in childbirth was the strength of every Ulate until the ninth generation of the Noinden. There were three kinds of people that the Noinden of Ulster did not reach, namely the children and wives of Ulster and Cuchulainn. The period during which it weighed on Ulster began in the time of Crunniuc, son of Agnoman, son of Curir Ulad, son of Fiatach, son of Urmi, until the time of Forc (?), Son of Dallán, son of Mainech , son of Lugid, etc. Curir Ulad is the one from whom the Ulates take their name.

Version II

Why did weakness weigh on the Ulates? It's not difficult.

A wealthy farmer from Ulster lived high in the mountains and in solitude, Crundchu Mac Agnomain was his name. In his solitude, he gathered great wealth. He had many sons with him, and around him. [Then] the woman who had lived with him, the mother of his children, died. For a long time he remained without a woman. While one day he was there, alone, on his bed in his house, he saw a young and pretty woman come to him in the big house; her figure, dress and appearance were admirable. Masha was the name of this woman, ut periti dicunt. La femme s’assit sur un siège près du foyer, et alluma le feu. Ils furent ainsi jusqu’à la fin de la journée sans parler l’un à l’autre. Elle saisit un pétrin et un crible et commença à préparer [la nourriture] pour la maison. Quand la journée fut finie, elle prit des seaux pour traire les vaches, sans rien demander. Quand ils (les gens) furent [de retour] dans la maison, elle fit un tour autour d’eux par la droite et alla dans sa cuisine et parla aux gens et s’assit sur un siège à côté de Crundchu. Tout le monde alla à son lit, elle resta après tous les autres, et éteignit le feu puis tourna par la droite autour de lui et alla sous la couverture avec lui (Crundchu) et mit la main sur son côté. Ils restèrent ensemble jusqu’à ce qu’elle soit enceinte de lui. En se liant avec elle, sa richesse [n’en] devint qu’encore plus grande. Son apparition et l’épanouissement *** était agréable. Cependant, les Ulates avaient souvent de grandes réunions et des rassemblements. Ils demandèrent [alors] à tous d’aller à l’assemblée, homme et femme, de tous ceux qui le pouvaient. « Je veux », dit Crundchu à sa femme, « aller à la réunion comme les autres. » « Tu ne devrais pas aller », dit la femme, « de sorte que tu ne serais pas dans le danger de parler de nous, car notre union ne tient que [tant] que tu ne parles pas de moi à l’assemblée. » « Je n’en parlerai donc pas », dit Crundchu. Les Ulates allèrent à l’assemblée, de même Crundchu y alla comme les autres. La réunion fut impressionnante, tant par [les] gens, [que] par les chevaux et que [en ce qui concerne] les costumes. Il y avait pendant l’assemblée des courses de chevaux et des combats et des jeux de lancer et des courses entre hommes et des parades (qui étaient) organisés. La neuvième heure le char du roi arriva sur le champ de course. Les chevaux du roi arrachèrent la victoire lors de la rencontre. Alors vint le chanteur de louanges pour louer le roi et la reine, et les poètes et les druides et les guerriers (?) et le peuple et toute l’assemblée. « Jamais ne sont venus à l’Assemblée, deux chevaux, comme les deux chevaux du roi, car il n’y a pas plus rapide que ces deux-là en Ireland. » « Ma femme est plus rapide que ces deux chevaux », dit Crundchu. « Retenez cet homme. » dit le roi, « jusqu’à ce que sa femme vienne concourir! » Il (Crundchu) fut arrêté et des envoyés du roi se rendirent auprès de la femme. Elle souhaita la bienvenue aux messagers, et demanda ce qui les avaient conduit à elle. « Nous sommes venus, pour que tu ailles libérer ton mari, qui est arrêté par le roi, car il a dit que tu es plus rapide que les deux chevaux du roi. » «C'[est] vraiment malheureux », dit-elle, « parce qu’il n’était pas convenable de dire cela. C’est un malheur pour moi », dit-elle, « parce que je suis dans les douleurs de l’enfantement. » « Quelle malchance », dirent les messagers, « il sera tué si tu ne viens pas. » « Cela n’arrivera pas », dit-elle. Elle se rendit avec eux à l’assemblée. Alors, tout le monde vint la voir. « Il n’est pas digne d’examiner ma figure », dit-elle. « Pourquoi, ai-je été amenée? » dit-elle. « Pour faire la course contre les deux chevaux du roi », dirent-ils tous. « C’est une catastrophe », dit-elle,« car j’ai des contractions. » « Tirez l’épée contre cet homme, » dit le roi. «Attendez un peu avec moi », dit-elle, « jusqu’à ce que j’ai accouché. » « Non, » dit le roi. « Vraiment c’est une honte pour vous de ne pas avoir un peu de considération pour moi. Puisque vous n’en avez pas, je vais amener la plus grande honte sur vous. Approchez seulement les chevaux près de moi! » dit-elle. Ceci fut fait, et elle arriva au bout de la piste devant eux. Puis elle poussa un cri de détresse et de douleur. Bientôt, Dieu y mit fin pour elle, et elle donna naissance à un fils et une fille, Fir et Fial, en une seule fois. Lorsque tous entendirent le cri de la femme, il se fit qu’ils n’eurent tous [que] la même force que la femme, qui était dans la faiblesse. « Vous bénéficierez dès cette heure-ci de l’honneur de la profanation, dont vous m’avez couverte, par honte. Lorsque le besoin sera le plus grand pour vous, tout ceux qui vivent dans cette province, n’auront que la force d’une femme, dans le temps où elle est en couches, pour la même durée, à savoir cinq jours et quatre nuits, et ceci pèsera sur vous jusqu’au neuvième homme, c’est-à-dire, le temps de neuf (génération d’)hommes. »

It really happened. This lasted from the time of Crunchu until the time of Fergus mac Domnaill. But this weakness was not on the women, nor the children, nor Cuchulainn, because he was not from Ulster, nor on those who [then] were out of the country.

So that's where the weakness came from on the Ulates etc.